Je commence en cette veille de l'année 2012 par parler d'un sujet qui m'est cher : l'écriture. Pas d'articles ou de lettres, mais de textes comme les histoires ou les romans.
J'estime qu'on ne peut me connaître sans savoir que j'écris. Sérieusement, sans vouloir tomber dans le mélo, c'est vital pour moi : j'écris depuis l'âge de six ou sept ans, et je n'envisage plus du tout de vivre sans. Au début c'était juste le récit des aventures de mes peluches, mais plus j'ai grandi, plus c'est devenu réfléchi : je suis une passionnée.
En novembre 2010 je me suis lancée dans l'écriture d'une histoire de fantasy qui relate l'histoire d'une apprentie terroriste. Elle environnera les 500 pages à sa fin. J'en suis au 7/8 à peu près, et c'est fou comme j'ai pu me prendre la tête dessus, parfois pour une seule et misérable phrase. Mais comme c'est agréable ! Agréable de remarquer un progrès en écriture depuis les premières pages, de voir que le squelette de l'histoire tient debout et s'étoffe peu à peu et de me dire à chaque gros passage terminé que j'ai déjà fait tout ça (après, ça l'est moins de me dire qu'il y aura 500 pages à réécrire à la fin parce que mon style a trop évolué, certes, mais bon). Je sens d'ailleurs que je vais avoir un gros coup de blues quand j'aurai fini - bien que j'aie déjà de nombreuses autres histoires en cours desquelles je ferais bien de m'occuper.
Les premières pages sont en ligne là, mais pour l'instant c'est assez médiocre et j'ai de nombreuses choses à modifier.
J'ai eu plus d'une fois envie de me faire éditer, mais je me dis : à quoi bon ? Quand je vois les nouveaux romans à la mode, excusez-moi mais beurk. Je n'ai pas envie de rentrer dans cette catégorie. Si je me fais éditer, c'est pour la qualité, pas pour le potentiel commercial (enfin, forcément un peu, mais pas seulement). Et puis je n'ai pas envie de passer pour l'adolescente à qui on a permis un caprice... Je me demande si la publication ne devrait pas rester qu'un beau rêve jusqu'à ce que je sois réellement assez mature. Néanmoins, on m'a déjà dit que si je considérais mon travail abouti, ce serait pas mal de tenter, et là j'ai une question un peu débile : c'est quoi exactement, un roman abouti ?
Je vous laisse sur cette interrogation qui me turlupine, chers amis, et passez de bonnes fêtes (songez d'ailleurs que ce sont vos dernières fêtes de fin d'année car on va tous mourir à cause du virus fabriqué en laboratoire qui s'est échappé).
J'estime qu'on ne peut me connaître sans savoir que j'écris. Sérieusement, sans vouloir tomber dans le mélo, c'est vital pour moi : j'écris depuis l'âge de six ou sept ans, et je n'envisage plus du tout de vivre sans. Au début c'était juste le récit des aventures de mes peluches, mais plus j'ai grandi, plus c'est devenu réfléchi : je suis une passionnée.
En novembre 2010 je me suis lancée dans l'écriture d'une histoire de fantasy qui relate l'histoire d'une apprentie terroriste. Elle environnera les 500 pages à sa fin. J'en suis au 7/8 à peu près, et c'est fou comme j'ai pu me prendre la tête dessus, parfois pour une seule et misérable phrase. Mais comme c'est agréable ! Agréable de remarquer un progrès en écriture depuis les premières pages, de voir que le squelette de l'histoire tient debout et s'étoffe peu à peu et de me dire à chaque gros passage terminé que j'ai déjà fait tout ça (après, ça l'est moins de me dire qu'il y aura 500 pages à réécrire à la fin parce que mon style a trop évolué, certes, mais bon). Je sens d'ailleurs que je vais avoir un gros coup de blues quand j'aurai fini - bien que j'aie déjà de nombreuses autres histoires en cours desquelles je ferais bien de m'occuper.
Les premières pages sont en ligne là, mais pour l'instant c'est assez médiocre et j'ai de nombreuses choses à modifier.
J'ai eu plus d'une fois envie de me faire éditer, mais je me dis : à quoi bon ? Quand je vois les nouveaux romans à la mode, excusez-moi mais beurk. Je n'ai pas envie de rentrer dans cette catégorie. Si je me fais éditer, c'est pour la qualité, pas pour le potentiel commercial (enfin, forcément un peu, mais pas seulement). Et puis je n'ai pas envie de passer pour l'adolescente à qui on a permis un caprice... Je me demande si la publication ne devrait pas rester qu'un beau rêve jusqu'à ce que je sois réellement assez mature. Néanmoins, on m'a déjà dit que si je considérais mon travail abouti, ce serait pas mal de tenter, et là j'ai une question un peu débile : c'est quoi exactement, un roman abouti ?
Je vous laisse sur cette interrogation qui me turlupine, chers amis, et passez de bonnes fêtes (songez d'ailleurs que ce sont vos dernières fêtes de fin d'année car on va tous mourir à cause du virus fabriqué en laboratoire qui s'est échappé).