Voici un gros plan sur l'un des multiples éléments de ma chambre : un faon et un petit renard achetés dans un atelier de céramique pas loin de chez moi.
Cela serait sans intérêt sans l'ombre projetée par derrière, qui donne au gentil faon une allure de méchant et qui rend diabolique ses deux grandes oreilles (selon moi). Elle aurait été une image digne d'un film d'horreur s'il n'y avait pas eu tout le bordel environnant (on peut observer un bloc-notes, un cahier, des feuilles, une boîte de crayons de couleur, plus au fond une boîte peinte, à droite un pot avec des surligneurs et tout à fait sur le côté des plumes de calligraphie avec des mouchoirs tâchés d'encre, et légèrement en-dessous un sachet contenant des élastiques d'orthodontie - mais c'est déjà moins flagrant -, tout cela mis en valeur par un magnifique papier peint vert). Et ce n'est que la moitié de mon bureau, je vous laisse imaginer le reste.
Ce petit faon diabolique n'a même pas d'histoire à raconter. Il a pris sous sa protection le petit renard, en attendant que je leur trouve une petite place sur une de mes étagères. C'est triste d'être diabolique et sans histoire.
Cela serait sans intérêt sans l'ombre projetée par derrière, qui donne au gentil faon une allure de méchant et qui rend diabolique ses deux grandes oreilles (selon moi). Elle aurait été une image digne d'un film d'horreur s'il n'y avait pas eu tout le bordel environnant (on peut observer un bloc-notes, un cahier, des feuilles, une boîte de crayons de couleur, plus au fond une boîte peinte, à droite un pot avec des surligneurs et tout à fait sur le côté des plumes de calligraphie avec des mouchoirs tâchés d'encre, et légèrement en-dessous un sachet contenant des élastiques d'orthodontie - mais c'est déjà moins flagrant -, tout cela mis en valeur par un magnifique papier peint vert). Et ce n'est que la moitié de mon bureau, je vous laisse imaginer le reste.
Ce petit faon diabolique n'a même pas d'histoire à raconter. Il a pris sous sa protection le petit renard, en attendant que je leur trouve une petite place sur une de mes étagères. C'est triste d'être diabolique et sans histoire.
On peut aussi remarquer qu'ils sont sur une pile de cinq livres tout fraîchement achetés à la librairie, dont un de Camille de Villeneuve - écrivain que je ne connais absolument pas mais sur laquelle je focalise parce que depuis quelques semaines je fais une fixation sur les noms aristocratiques.